dimanche 6 avril 2008

contraceptions et grossesses non désirées

exposé le Samedi 23 février 2008


Contraceptions et grossesses non désirées




I – La contraception


INTRODUCTION

D
ès la plus haute Antiquité, l’homme a cherché à maîtriser sa fécondité.De nos jours, la biologie de la fécondation est bien connue.Un couple peut choisir de transmettre la vie ou bien décider de limiter le nombre de ses enfants.Pour l’espèce humaine, l’acte sexuel n’est pas obligatoirement lié à la reproduction.Qu’est ce que la contraception ? Quels sont les différents moyens de contraceptions existantes ? Quels sont leurs avantages ? Leurs inconvénients ? Voici ce que nous développerons dans ces lignes qui suivront.


I. 1. Définition
La contraception est l’ensemble des méthodes ayant pour but de s’opposer à la fécondation ou à la nidation de l’œuf de façon temporaire, c’est-à-dire réversible.Elle permet à un couple d’avoir des relations sexuelles sans risque de grossesse.Elle permet de dissocier reproduction et sexualité du couple.
Au cours d’un rapport sexuel, les spermatozoïdes, déposés au fond de la cavité vaginale, franchissent le col de l’utérus, aidés par le mucus cervical.Ils progressent jusqu’aux trompes à la rencontre de l’ovule.Un spermatozoïde féconde l’ovule.L’œuf fécondé suit le chemin inverse et se niche dans la muqueuse de l’utérus où il se développe.Pour empêcher momentanément ces phénomènes de s produirent, quelles solutions existe-il ?


I. 2. Les différents moyens de contraception

Les différents moyens de contraception sont les suivantes :

Les méthodes naturelles

Les méthodes naturelles sont appelées ainsi parce qu’elles n’ont aucune influence sur la physiologie de l’homme et de la femme.Elles cherchent à déceler l’ovulation et consistent à s’abstenir d’avoir des relations sexuelles pendant la période de fécondité de chaque cycle ovarien.On les appelle aussi méthodes d’abstinence périodique.

a.Le coït interrompu

Le rapport sexuel est interrompu.L’homme prévoit le moment de l’éjaculation et, avant celle-ci, retire sa verge du vagin de la femme, afin que le sperme ne s’y répande pas.Cette méthode est relativement difficile à pratiquer correctement.Elle exige de la part de l’homme un contrôle particulièrement strict.Une éjaculation au niveau de la vulve peut être fécondante.Cette méthode est peu efficace (12 à 36 % d’échecs).

b. Méthode Ogino

Elle consiste à déterminer la période de fécondité par extrapolation de plusieurs cycles de longueurs différentes.En effet Ogino situe la période de fécondité de la femme entre le 12ème et le 19ème jour avant les règles.Elle nécessite aucun moyen financier.Le taux d’échecs est élevé à cause de la date d’ovulation qui est très difficile à prévoir.

c. Méthode de la glaire cervicale ou méthode Billings

Elle consiste à détecter la période de non fécondité qui est marqué par un changement de la consistance de la glaire cervicale qui devient épaisse et compact après l’ovulation.Elle nécessite aucun moyen financier.Le taux d’échecs est élevé (7 à 15 %) pour mauvaise appréciation de la consistance de la glaire cervicale.

d. Méthode des températures

Elle détermine la période de fécondité en se fondant sur les principes suivants :
- une seule ovulation a lieu par cycle,
- l’ovulation se traduit par une montée de la courbe des températures liée à la production de l’hormone du corps jaune.
La femme doit prendre sa température par voie rectale, chaque matin, au réveil, avant de se lever, à la même heure, avec le même thermomètre.La courbe des températures doit être établie tous les jours, pour chaque cycle.En effet, la date de l’ovulation peut être avancée ou retardée.La période d’infécondité est comptée à partir du 3ème jour du plateau thermique.C’est une méthode très efficace ( 2 à 3 % d’échecs) si on respecte la période de « sécurité » ainsi définie.La femme est obligée de prendre sa température tous les matins.D’autre part, il suffit qu’elle se soit levée la nuit, ou couchée tard ou encore qu’elle soit fatiguée pour que la montée thermique observée ne soit pas liée à l’ovulation,d’où risque d’erreurs.Cette méthode ne peut pas être utilisée par les femmes dont la courbe des températures est irrégulière

Le collier

Le collier est une méthode contraceptive basée sur le cycle menstruelle.L’application de cette méthode implique l’utilisation d’un collier spécial comme l’indique son nom.Ce collier est caractérisé par trois (3) types de perles : les blanches, les marrons, la rouge et par la présence d’un caoutchouc qui à pour objectif de marquer les perles du collier.Cette méthode est réservé aux femmes qui ont un cycle compris strictement entre 26 et 32 jours.L’application de la méthode débute le premier jour des règles qui est représenté par la perle rouge.Chaque jour la femme doit marqué à l’aide du caoutchouc la perle suivante.Lorsque le caoutchouc se trouve sur les perles de couleur marron, la femme peut avoir des rapports sexuelles sans risque de grossesse.Mais lorsque le caoutchouc se retrouve sur les perles de couleur blanche, la femme doit s’abstenir de tout rapports sexuelle sous peine de grossesse.Cette méthode exige une maîtrise parfaite du cycle menstruelle.Le collier coûte 500 francs CFA.




f.La méthode MAMA

La méthode MAMA est une méthode naturelle qui consiste à allaiter l’enfant chaque 3 heures au moins pendant six mois.En effet, l’allaitement arrête le cycle menstruelle de la femme, donc pas d’ovulation.Elle permet à la femme, durant cette période d’avoir des rapports sexuels sans risque de grossesse.Cette méthode n’est réservé qu’aux femmes qui allaitent.Cette méthode exige une application rigoureuse car la moindre erreur peut la rendre inefficace.


g.Méthode de la douche vaginale.
Immédiatement après le rapport sexuel, la femme envoie de l’eau additionnée de savon à l’aide d’une poire de caoutchouc dans la cavité vaginale avant que les spermatozoïdes pénètrent dans l’utérus.En fait, les spermatozoïdes sont pris en charge par le mucus cervical si bien que cette méthode est très peu sûre (30 à 40 % d’échecs).
B. Méthodes Hormonales

Le Norplant ou jadelle
C’est un lot de 5 bâtonnets qui inséré sous la peau libère de façon régulière des hormones qui empêchent la grossesse.Il existe une autre sorte de norplant, le jadelle, qui, lui, est composé d’un lots de 2 bâtonnets.Il à les même propriétés que le norplant.Ils sont inséré sous la peau sous anesthésie locale.Cette méthode est très efficace.La fertilité est rapidement rétablie après le retrait.Elle convient à beaucoup de femme.Son insertion nécessite un personnel qualifié.Le norplant provoque des malaises ( nausées, maux de tête, vertige, prise de poids) et une irrégularité des règles.Ils a une durée de protection de 5 ans.Le norplant coûte 3000 francs CFA au Burkina.


b. La pilule
La contraception par voie orale implique la prise régulière par la bouche, de doses d’hormones ovariennes conditionnées sous forme de pilules.Pour comprendre son mode d’action, rappelons qu’au cours du cycle génital, l’ovaire sécrète deux hormones :
- l’hormone du follicule (ou oestrogènes) favorisant la formation du mucus cervical pendant la première partie du cycle ;
- L’hormone du corps jaune (progestérone) pendant sa deuxième partie.
Ces deux hormones favorisent l’épaississement de la muqueuse utérine.D’autre part, l’ovaire est sous la dépendance de l’hypophyse qui sécrète des hormones contrôlant en particulier l’ovulation.Mais en retour, les hormones ovariennes, présentes en quantité suffisante dans le sang, freinent la sécrétion des hormones de l’hypophyse : c’est ce qui se passe au cours de l’évolution du corps jaune.PINCUS, biologiste américain, met au point en 1955 la première pilule associant les deux hormones ovariennes de synthèse reproduisant artificiellement ce qui se passe pendant l’existence du corps jaune.Cette association d’hormones trompe l’hypophyse qui cesse de stimuler l’ovaire.Celui-ci est mis au repos : il ne s’y produit ni maturation du follicule, ni ovulation, ni sécrétion d’hormones ovariennes.L’absence d’ovules dans les voies génitales de la femme empêche toute fécondation.Les pilules combinées sont les plus couramment utilisées.Chaque pilule contient des doses appropriées d’hormones ovariennes.Elle doit être prise régulièrement 21 jours par cycle.Après sept jours d’arrêt pendant lesquels règles surviennent , la prise de la plaquette pilules suivants débute.La prise de pilules est la méthode contraceptive la plus efficace.Elle ne présente aucun risque d’échecs si elle est pratiquée régulièrement.Elle est réversible : dès l’arrêt de la pilule, les cycles ovariens reprennent avec régularité.Elle nécessite une surveillance médicale régulière, deux fois par an, permettant ainsi la détection éventuelle du cancer du col de l’utérus.C’est une médication qui agit sur la physiologie du cycle ovarien.Elle est contraignante car elle impose une prise régulière des pilules.Elle peut provoquer des saignements, des nausées.Elle a été accusée de faire grossir , de faire perdre les cheveux.Ce qui est prouvé, c’est qu’associée au tabac, elle peut provoquer des accidents cardiovasculaires.Elle ne doit pas être prescrite aux femmes qui ont des problèmes de circulation sanguines, une tension artérielle trop élevée, un taux de sucre ou de graisses trop fort dans le sang.

Remarque : elle est prescrite sur ordonnance.Etant donné la diversité de la composition des pilules, chaque femme peut trouver la pilule la mieux adaptée à sa physiologie.

Il y a aussi la pilule du lendemain.Elle consiste à administrer une dose massive d’œstrogène au plus tard 48 heures après le rapport supposé fécondant pendant 2 à 3 jours.Elle agirait en désorganisant la muqueuse utérine et en accélérant le transport de l’ovule le long de la trompe.Elle entraîne des nausées, des malaises, des migraines.Elle ne s’emploie que dans des conditions exceptionnelles.La réalisation d’une pilule pour homme reste du domaine de l’expérimentation : l’absence de spermatozoïdes n’est obtenue que dans 50% des cas.D’autres produits sont à l’étude : des extraits de la graine du coton, absorbés par voie digestive, provoquent l’immobilisation des spermatozoïdes.Utilisée en Chine depuis 1972 , cette méthode n’est pas réversible dans 15 % des cas.

c. Les injectables

Ce sont des substances contenant de la progestérone dont l’injection par voie intramusculaire empêche l’ovulation pendant 3 à 6 mois.Cette méthode est très efficace, elle augmente la sécrétion lactée, le délai de renouvellement est assez long, elle convient aux femmes qui ne supportent pas la pilule.Elle provoque de petits saignements, une irrégularité des règles, des malaises et le retour à la fertilité est un peu lent.Au Burkina, l’injection fait 500 Francs CFA.


C. Méthode Chimique

Les spermicides
Ces produits tuent les spermatozoïdes en quelques secondes.Ils contiennent des substances acides comme l’acide citrique du citron associées à des désinfectants tel que le permanganate de potassium.Ils se présentent sous plusieurs formes : suppositoires vaginaux solubles, crèmes, gelées, comprimés effervescents ou bien ils imprègnent une petite éponge à usage unique.Dès leur introduction dans le vagin, avant le rapport sexuel, ils assurent une protection immédiate et qui dure 24 heures.Les spermicides n’interviennent pas sur la physiologie de l’ovulation ou la production des spermatozoïdes.Ils protègent contre certaines maladies sexuellement transmissibles : gonococcie en particulier.Si le spermicide est correctement utilisé, le taux d’échecs est de l’ordre de 1 à 5 %.Il s’élève à 38 % en cas de mauvais emploi.Généralement bien tolérés, les spermicides peuvent occasionner de très rares picotements ou brûlures localisés au vagin.C’est une méthode contraignante : elle nécessite des manipulations avant le rapport sexuel.

D. Méthodes Mécaniques

a. Les préservatifs masculins ou condoms
Le préservatif masculin ou condom est une sorte de gaine en caoutchouc souple et fin (0,03 mm) placé sur le pénis en érection avant le rapport sexuel.Il empêche le sperme de se répandre dans le vagin.Il est efficace presque à 100% s’il est bien utilisé.Les 2 à 3 % d’échecs sont dus à sa rupture accidentelle ou à son mauvais emploi.De plus, il est le meilleur moyen de lutte antivénérienne d’où son nom : il préserve contre les maladies sexuellement transmissibles.Il nécessite une manipulation : sa mise en place sur la verge, au moment du rapport sexuel.Le préservatif coûte 75 francs la boite au Burkina.

b. Le diaphragme
Elle empêche les spermatozoïdes de franchir le col de l’utérus.Le diaphragme est un disque souple de fin caoutchouc bombé en coupole, dont le tour est bordé par un ressort métallique gainé du même caoutchouc.Il en existe de vingt tailles différentes de 55 à 105 mm de diamètre.Une consultation médicale est nécessaire afin que le médecin détermine la taille convenable du diaphragme, adaptée à la femme et explique comment il se pose.Mis en place quelques heures avant le rapport sexuel au fond de la cavité vaginale, il doit être gardé au moins six heures.Utilisé avec une crème spermicide, il est très efficace ( 2 à 5 % d’échecs).Il ne modifie pas la physiologie du cycle féminin.Il assure une certaine protection contre les maladies sexuellement transmissibles.C’est une méthode contraignante car elle demande de nombreuses manipulations : application du spermicide, mise en place puis retrait et entretien du diaphragme.

c. la cape cervicale
La cape cervicale est une cupule de caoutchouc épais placé sur le col de l’utérus comme un dé à coudre sur le doigt.Elle adhère par effet de ventouse.Sa taille varie de 22 à 31 mm de diamètre.Elle présente deux inconvénients :
- sa difficulté de mise en place et de retrait
- son taux d’échecs est plus élevé qu’avec l’usage du diaphragme (8 à 10 % d’échec).

d. Le stérilet ou DIU
Le dispositif intra-utérin ( D.I.U) improprement appelé stérilet est un petit appareil en plastique souple flexible accompagné le plus souvent d’un fil de cuivre.Il est placé dans l’utérus par le médecin juste après la fin des règles pour une durée de 10 ans.Il n’empêche pas la fécondation, mais compromet la nidation de l’œuf.D’autre part, le fil de cuivre serait spermicide ou bien détruirait l’œuf.Il modifierait aussi la structure de la muqueuse utérine et la composition du mucus cervical.C’est une méthode contraceptive très efficace ( entre 0.3 et 3 % d’échecs).Elle ne modifie pas l’équilibre hormonal de la femme, ne bloque pas l’ovulation.Une surveillance médicale annuelle est nécessaire.Le stérilet peut provoquer des saignements, les règles sont plus longues,plus abondantes.Il peut être expulsé d’où l’intérêt du fil – test qui permet à la femme de s’assurer qu’il est en place.Il est déconseillé aux femmes qui n’ont pas eu d’enfants parce que qu’il augmente les risques d’infections génitale, causes de stérilités définitives.
Le dernier – né des stérilets comporte à la place du fil de cuivre un réservoir de progestérone.L’hormone diffusé localement dans l’utérus : elle ne bloque pas l’ovulation mais empêche le développement de la muqueuse utérine.Ainsi, la durée des règles et leur intensité sont-elles réduites ce qui est un avantage par rapport au stérilet en cuivre.

E. Méthodes chirurgicales ou de stérilisation

a. La ligature des trompes ou des canaux déférents.

Chez la femme, la ligature des trompes, leur interruption ou la pose d’un petit anneau en plastique sur chacune d’elles, ont pour but d’interrompre le trajet des ovules.L’ovule ne peut plus rencontrer les spermatozoïdes : la fécondation est impossible.La méthode est très efficace, n’a pas d’effets secondaires.C’est une méthode irréversible et nécessite un personnel qualifié.

b. La vasectomie

Chez l’homme, cette méthode consiste à sectionner les canaux déférents qui ont pour rôle de transporter les spermatozoïdes. La méthode est très efficace, n’a pas d’effets secondaires.C’est une méthode irréversible et nécessite un personnel qualifié.

CONCLUSION

L
a contraception est l’ensemble des méthodes qui permettent d’éviter la grossesse.Les découvertes médicales récentes relatives à la physiologie de la reproduction concernant en particulier les mécanismes hormonaux, mettent à la disposition des couples qui le désirent des procédés divers qui ont tous des avantages et des inconvénients.La variété des procédés de contraception permet aux couple de choisir la méthode qui leur convient le mieux.Une bonne méthode contraceptive doit être efficace, réversible, sans danger pour la santé et bien acceptée par le couple.Mais l’absences de ces méthodes ou leur mauvaise application ont des conséquences.



II. Les grossesses non désirées

INTRODUCTION

C
haque année au Burkina Faso, près de 500 filles tombent enceinte contre leur gré et bon nombre d’entre elles commettent des actes immoraux liés a leur situations,et en subissent les conséquences.Qu’est ce que une grossesse non désirée ?ses causes ?Ses conséquences ? Et quelles solutions existent pour faire face à ce problème ?

a.définition

Une grossesse non désirée est une grossesse due à l’absence ou la défaillance d’une méthode contraceptives ou à d’autres facteurs indépendants de la volonté d’un individu.

b.causes

Les grossesses non désirées concernent particulièrement les jeunes.Les causes sont nombreuses : Nous avons entre autres l’ignorance et le manque de sensibilisations,la tradition et les services de santés inadaptés.En effet,certaines jeunes filles et garçons ne sont pas au courant des différents moyen de contraception existant.Pas instruites, certaines filles ne comprennent même pas pourquoi elles ont leurs règles, et ne savent pas vers qui se tourner, le poids de la tradition étant encore très présent.Il y a aussi la mauvaise utilisation des méthodes contraceptives.Le non respect de leur mode d’emploi peut entraîner une grossesse non désirée.D’autres facteurs comme les viols et la prostitution peuvent en être les causes.

c.conséquences

Comme conséquences nous avons tout d’abord l’abandon des études et des projets d’avenir de la jeune fille surtout.Elle sera obligée de quitter l’école pour se consacrer a sa futur vie de mère.Ensuite L’exclusion sociale.En Afrique c’est une honte pour la famille et surtout pour le père d’avoir une fille mère non mariée.C’est un déshonneur.Elle sera donc exclue de la famille et rejetées par la société.Il y a en plus l’avortement.Par manque de moyen et par souci de continuer les études certaines tenterons d’avorter.Ce qui les conduira pour certaine à la mort.Citons aussi l’abandon de nouveaux nés dans des toilettes, des poubelles ou derrière des immeubles.Et enfin, certaine iront jusqu’au suicide par déception et par tristesse.

d.solutions

Pour faire face à ce problème, des sensibilisations sur les méthodes de contraception, accessibilité facile aux services de santé pour tous et une prise en charge des jeunes filles mères seraient des solutions


CONCLUSION
L
es grossesses non désirées sont des problèmes pour nos sociétés.Ce phénomène choquant devient particulièrement fréquent à Ouagadougou, la capitale, à mesure que de plus en plus de personnes quittent les campagnes pour venir s’y installer.Ce phénomène a plusieurs causes et des conséquences négatives.Mais les solutions pour faire face à ce problèmes existent.


note: 15/20

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